8 février 2018
Je souscris aux appréciations positives déjà en ligne et j’en profite pour souligner une faiblesse : la haute compétence des intervenants n’est pas partagée par tous les participants, notamment quant au vocabulaire technique. De même, la problématique identifiée par l’équipe nationale relativement aux sophismes “anti-vie” et autres chausse-trappes médiatique ne sont sans doute pas le pain quotidien des équipes locales, moins exposées médiatiquement.
Intellectuellement, les joutes rhétoriques je suis preneur, mais dans la praxis quotidienne peut être convient-il de ne pas majorer leur efficacité.
Tenez bon !